Le Service d’Écologie et Contrôle des Maladies Infectieuses (SECMI) a clôturé, ce mercredi 25 mai, son programme dénommé «journées de grands témoins», qui s’est déroulé dans la salle de conférence de l’institut national de recherche Biomédicale (INRB).
En effet, cette deuxième et dernière journée a connu son ouverture avec l’intervention du professeur, Jacques EMINA de la faculté des Sciences Économiques et Gestion, de l’Université de Kinshasa.
Dans son allocution, ce premier intervenant a abordé la thématique liée à l’importance des données pour des politiques basées sur l’évidence.
Selon ce professeur, il est important de savoir produire des données, les rendre publiques et les utiliser. «Il faut donc approfondir ses analyses des données afin de les rendre fiables. D’où, il n’y a pas de décision sans de bonnes données à la base», a-t-il renchéri.
Après l’intervention du professeur Jacques EMINA, est venu le moment où chaque étudiant a présenté son projet de recherche.
À chaque passage de l’apprenant, quelques remarques, conseils, orientations et suggestions étaient au rendez-vous. Au total, seize (16) apprenants ont exposé leurs thématiques ce jour.
C’est sous un climat chaleureux que le professeur Didier BOMPANGUE, responsable pédagogique du SECMI a reconnu les efforts que fournissent ces apprenants en Master, et il les a encouragés à exceller davantage.
Il sied de rappeler que ce programme est organisé chaque année académique dans le but de permettre aux apprenants en MASTER ECOM-ALGER : Master en Écologie des Maladies Infectieuses Aléas Naturels et Gestion des Risques (Master 1) et ECOGEM : Master en Écologie et Gouvernance des Maladies Infectieuses (Master 2) d’exposer leurs projets d’étude, afin que ces derniers améliorent leurs recherches suite aux remarques qui leur sont faites par les membres du jury.
CP