Le sommet «Nkelo Bantu», initié par la SODEICO, a organisé ce vendredi 7 octobre 2022, un panel axé sur le développement personnel: «Gestion de carrière».
Parmi les panélistes figurent notamment Laetitia Ndombasi, Directrice du capital humain de Bracongo, Mianda Hatton Cheffe de projet Nkelo Bantu, Patrick Basonge de DRH Bat et William Beya.
Cette assise d’une heure et trente minutes a permis aux panélistes d’éclairer les lanternes autour du concept Gestion de carrière. Aussi, de passer en revue les différents éléments qui entrent en compte pour une gestion efficiente de carrière dans le développement personnel comme pour celui d’une entreprise de la place.
«La Gestion de carrière est cette faculté de dénicher et placer les personnes qu’il faut, à la place qu’il faut partant de leurs compétences pour qu’ils produisent un travail de qualité», telle est la définition qui a gardé Laetitia Ndombasi, Mianda Hatton, Patrick Basonge et William Beya et différents panelistes à l’unanimité.
Ces derniers sont allés jusqu’à s’accorder que c’est aussi, un épanouissement du capital humain dans une entreprise pour assurer sa durabilité et son épanouissement.
Pour qu’une gestion de carrière ne connaisse un fiasco, les 4 panélistes se sont accordés sur 4 éléments devant entrer en compte notamment :
– La gestion des talents, c’est-à-dire, cette capacité à dénicher les potentiels et les orienter à fin utile;
– L’évaluation, dans ce sens que l’employeur doit se rassurer de la maîtrise de ses employés ;
– La formation, cette remise à niveau qui doit premièrement provenir du désir d’ambition personnel de l’employé, pour être sublimer par l’employeur et;
– La classification, pour permettre à l’employeur d’aligner ses sujets para-port au SMIG.
Outre cela, ce panel a aussi été question d’étayer autour du retour sur investissement de la gestion de carrière pour un employé.
Dans ce registre, les 4 intervenants ont affirmés ex-cathedra que les différentes stratégies mise en place par un employeur ne sont nullement comparable à une pavé jetée dans la marre. Pourtant, cela lui permet d’atteindre les meilleurs talents de ses employés, assurer la meilleure rétention des talents, pérenniser le business et autres.
Autre chose, il s’est tenu, à la même salle, un workshop axé sur les témoignages des femmes formées en vue de les booster jusqu’à atteindre des postes décisionnelles.
Dénommée : «Leadership féminin».
La Rédaction