Les entreprises de l’État ne seront jamais livrées à une quelconque prédation. C’est ce qu’a rassuré l’Inspecteur général et Chef des services de l’Inspection Générale des Finances (IGF) Jules Alingete, mardi 25 avril, dans un message publié via son compte Twitter.
« Les Entreprises de l’Etat ne seront jamais livrées à une quelconque prédation. La patrouille financière de l’IGF veillera toujours pour barrer la route aux antivaleurs afin de réaliser la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, pour le redressement financier de ces entités publiques », a écrit Jules Alingete.
L’IGF qui est chargée de veiller à la bonne exécution des lois et règlements en matière de gestion des fonds publics promet de continuer à jouer son rôle comme il le faut.
Depuis sa nomination à la tête de l’Inspection générale des finances, Jules Alingete a donné un sens à cette institution spécialisée dans le contrôle de la gestion financière du secteur public.
A l’actif de Jules Alingete, l’on peut compter plusieurs enquêtes initiées dans les entreprises publiques qui ont abouti à des poursuites judiciaires à l’encontre de plusieurs mandataires publics.
La dernière en date, c’est la convention Mines contre les infrastructures des bases signées en avril 2008 entre le Gouvernement de la République Démocratique du Congo et le groupement d’entreprises chinoises appelé communément « Contrat chinois ».
L’Inspection générale des finances (IGF) a fait un constat alarmant selon lequel l’État n’a bénéficié que de 800 millions de dollars sur des revenus évalués à 10 milliards de dollars dans l’exploitation de la SICOMINES.
Robert Butare